Aujourd'hui, on parle de prêts privés en immobilier. C'est un sujet dont on parle peu, mais qui touche beaucoup de gens, plus qu'on ne le pense, et j'espère sincèrement que ça ne vous concerne pas. Mais si c'est le cas, écoutez ceci et sachez que vous n'êtes pas seul.
Récemment, j'ai accompagné un client qui était pris avec un prêt privé. Les taux d'intérêt étaient étouffants et chaque mois, il payait, mais sa dette ne diminuait jamais. Il espérait que sa situation allait s'arranger, comme si un miracle allait lui arriver. Au fond de lui, il savait que ça n'allait pas fonctionner. Souvent, quand on fait un prêt privé, c'est parce qu'on a eu des imprévus ou qu'on a un projet, et puis si on n'a pas de plan de sortie, c'est difficile de s'en sortir.
Quand il m'a contacté, les délais étaient extrêmement serrés. Il a beaucoup tardé avant de me contacter et puis j'ai eu des délais très, très, très serrés pour répondre et trouver une solution de sortie parce qu'il allait perdre la maison au prêteur. Là, je vais vous donner un exemple : le prêt privé était peut-être la moitié de la valeur de la maison. Il était à un mois de perdre sa maison s'il n'acquittait pas la dette sur la propriété.
C'est un homme d'un certain âge, ce qui vient compliquer les choses, et puis il n'y avait aucune banque qui voulait financer. En tout cas, ça a bien fini et je suis vraiment content, mais je peux vous dire que le monsieur avait une pression immense, énorme, une angoisse complètement inutile. S'il nous avait appelés quelques semaines avant, même deux ou trois mois avant, on aurait pu faire ça d'une façon plus douce et moins stressante.
Il a fallu vraiment, vraiment qu'on aligne nos flûtes de la bonne façon pour être capables de vendre la propriété au prix du marché, pas que ce soit une aubaine non plus. Je voulais que le monsieur sorte avec le plus d'argent possible. On a fait une mise en marché normale, on est allé chercher le prix maximum puis il a fallu avoir des dates de notaire très, très, très proches parce que, je vous le dis, on était à un mois près de perdre la propriété.
Je comprends qu'on pense que tout va s'arranger tout seul et qu'on reste optimiste, puis c'est important. C'est important qu'on se rassure, mais quand on est dans la merde, on est dans la merde. Le prêt privé, c'est souvent une solution de dernier recours et plus on tarde à agir, plus ça devient compliqué.
Le message s'adresse aux propriétaires qui, si vous sentez que cette situation vous dépasse, ne restez pas là à attendre. Regardez vos options de sortie, prenez tout en considération. J'ai une bonne expérience dans le métier et ce sont des situations qui se sont produites. Si j'en parle, c'est parce que ce n'est pas la première fois qu'un tel dossier me tombe sous la main. Alors, j'ai quand même une bonne expérience et ça va me faire plaisir de m'asseoir avec vous, de regarder les possibilités et puis, vous savez quoi? En général, on ressort de là avec assez de liquidité pour recommencer à zéro et bien repartir.
Ce n'est pas fini. Des fois, la fin d'une chose, c'est le début d'une autre. Dans mon cas, mon histoire s'est bien terminée. Le monsieur est super content et enfin il dort sur ses deux oreilles. Tant mieux pour lui, et je suis bien content. Alors je vous souhaite plein de soleil.
Alors, pour les prêts privés, c'est une solution de dernier recours. C'est mon petit clin d'œil de la journée. Nothing but sunshine. Soyez bien, soyez bon.
Jonathan Cloutier
Royale Lepage
514-226-4444
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